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Vers la circularité, rencontre avec Alain Huli de Priplak

28 mai 2021 —
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Découvrez les bénéfices de Priplak à travers le témoignage d'Alain Huli.

Découvrez les bénéfices de Priplak à travers le témoignage d'Alain Huli.

Comment Priplak contribue-t-il à la transition vers une économie plus circulaire ?

Le point de départ est le produit. Depuis 1973, Priplak s'efforce de développer des solutions plus vertueuses pour ses clients. Avec le temps, nous avons été en mesure de produire des feuilles de haute qualité à partir de nouvelles générations de polymères. Depuis 2009 et le lancement de notre produit R100, en polypropylène recyclé, nous avons commencé à collecter les déchets de nos clients, ce qui a déclenché un cycle. Nous avons réussi à créer une chaîne de valeur plus vertueuse grâce à nos efforts en R&D pour produire des solutions plus recyclables. Fermer la boucle n'est possible que si nous réinventons nos processus sur tous les fronts. Et il y a encore beaucoup à faire !

Comment cela change-t-il la relation de Priplak avec ses clients ?

La collaboration est primordiale pour générer des situations véritablement gagnant-gagnant. Grâce à nos solutions, nos clients bénéficient de feuilles de polypropylène supérieures, plus responsables et hautement imprimables, et la fermeture de la boucle génère de nouveaux revenus potentiels pour eux. C'est simple. Nos clients deviennent aussi des fournisseurs. Tout le monde est gagnant, nos équipes aussi, car nous voulons tous faire partie de la solution.

Quels sont vos principaux défis pour demain ?

Nous devons encore diversifier nos sources pour minimiser l'utilisation de plastiques vierges. Cela implique davantage de points de collecte, post-industriels et post-consommation. Comme la demande pour ce type de produits est en nette augmentation, nous devons élargir la boucle. Nous avons également des obstacles techniques, notamment en ce qui concerne le désencrage. Nos clients demandent naturellement des feuilles blanches, ce qui constitue un problème dans certains cas, car le désencrage du noir est difficile. Mais nous faisons des progrès considérables.

Ces questions sont vraiment responsabilisantes pour nos équipes car nous sommes convaincus que même si le plastique reste vital, il doit changer à 100%.